You are currently browsing the category archive for the ‘Pradier James’ category.
Aristide Maillol, la courtisane
Pablo Picasso, Jeune Courtisane avec un Gentilhomme, un Sculpteur, et un Vieillard Alléché
James Pradier, Phryné la courtisane
Il faut bien avouer que la splendeur de Phryné résidait dans ce qu’elle ne montrait pas. C’était impossible de la voir nue, car elle était toujours vêtue d’une tunique qui dissimulait les charmes de son corps ; de plus, elle n’allait jamais aux bains publics.
Un jour, cependant, à la grande assemblée des Eleusines et aux fêtes de Poséidon, elle ôta son manteau devant tous les Grecs, laissa tomber ses longs cheveux et entra dans l’eau dans le plus simple appareil. (dans l’Athénée)
Gustave Boulanger, Phryné
James Pradier (Genève, 1792 – Rueil, 1852), Satyre et Bacchante
Karl Brulloff, (1799 – 1852), Silen, Satyr and Bacchanals. 1830s. Sepia and pencil on paper
Lequeu Jean-Jacques, les priapées des Satyres et des Bacchantes
Jef Lambeaux, Nymphe et Satyre
Antoine Watteau, Nymphe et Satyre, Jupiter et Antiope, vers 1715
Olivier Rebufa, Pan et Nymphe, 2001
Alexandre Cabanel, la nymphe et le satyre , 1860
COMMENTAIRES RECENTS